« Puis-je te dire deux mots de ma puante personne. Je quitte la rue Lepic. Je ne sais pas où je vais aller percher plus tard. […] J’ai toujours eu tu le sais la vie pas très facile mais depuis 2 ans c’est une corrida sans appel. Les jours en silex succèdent aux jours en caca. Rien au fond ne pourrait me plaire davantage. C’est la bonne vie de vache pour laquelle je suis fait. J’accumule les maléfices. Je m’en servirai bien un jour. »
Lettre à Lucienne Delforge, Correspondance Céline, p.581